Résumé :
L’organisation distribuée active un réseau de partisans/campaigners autonomes dans plusieurs endroits, qui peut s’étendre au-delà des frontières géographiques, des intérêts et des groupes culturels. Elle s’appuie sur l’initiative et l’énergie d’organisateurs bénévoles pour créer des groupes et diriger des équipes avec des degrés d’autonomie variables.
En comparaison, les campagnes traditionnelles menées par les ONG et les organisations politiques dirigées par les partis ont tendance à s’appuyer sur une direction plus commandée et contrôlée ainsi que sur du personnel rémunéré pour mobiliser d’autres personnes à agir ou pour sensibiliser.
Bien que plus horizontale par rapport au leadership traditionnel de commande et de contrôle, l’organisation décentralisée s’appuie souvent sur un groupe de coordination central pour lancer le réseau et le conduire vers des objectifs et des jalons communs. Lorsqu’elle est bien menée, elle peut aider un mouvement ou une campagne à prendre rapidement de l’ampleur et à canaliser d’énormes quantités de pouvoir collectif.
Les contributions et les ressources pour ce projet ont été fournies par :
Thelma Young et Jon Warnow de 350.org, Emily May de Hollaback!, Marisa Franco, B Loewe et Tania Unzueta, Jamie Bridge de Support. Don’t Punish., Nicole Fairall de ACLU’s People Power program, Tania Mejia de Jolt, Kunoor Ojha de Indivisible, Tasha Adams, Becky Bond et Zack Exley (via Rules for Revolutionaries), ainsi que Mobilisation Lab, Umme Hoque, Mary Alice Crim et Sarah Ali
Ce document a été préparé et révisé par :
Tom Liacas, Meredith Horowski, Tania Mejia, Kunoor Ojha, Tasha Adams, Michael Silberman, Emily May, Matt Price, Jason Mogus, Ethan Cox, Nick Allardice, Umme Hoque, Mary Alice Crim et Sarah Ali.
Ce document a été traduit par :